Avec sa technologie (achetée) qui lui permet de créer des costumes sur mesure grâce à 200 points de mensurations captés dans une cabine spéciale, My tailor is free s'est emparée depuis 2014 du marché des cravatés, c'est-à-dire des hommes d'affaires.
Automatisation
Active réellement depuis 2015, la start-up a réalisé un premier tour de table de l'ordre de 70.000 euros auprès de business angels afin d'automatiser la conception du costume sur mesure. Jusqu'à présent, le client prenait ses mesures mais ne pouvait "voir" le résultat final projeté. Ce sera désormais possible. "Cette levée nous permet de rendre notre offre duplicable" explique Guillaume Vandevoorde qui n'a jamais dissimulé sa volonté d'être présent, outre Aix-en-Provence et Marseille, à Sophia-Antipolis ou Nice.
Levée, étape 2
Cette évolution n'est qu'une pré-étape préalable à une seconde qui prévoit la création d'un avatar qui permettra ainsi à l'utilisateur de l'habiller en fonction des vêtements souhaités.
Côté résultats, depuis mars 2015, date de son entrée en activité effective, My tailor is free a réalisé un chiffre d'affaires de 240.000 euros et de 46.000 rien que pour le mois de janvier.
Néanmoins, Guillaume Vandevoorde enclenche un nouveau tour de table plus conséquent qui doit lui permettre d'accélérer le développement et notamment le lancement du site d'e-commerce.
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